J'ai pas dit que les solutions annoncées étaient réalisables
Mais ce sont ces solutions là qui permettraient de contrer la crise économique actuelle.
Concernant le taux de chômage,le 0% a déjà été atteint, en temps de guerre.

Ça te laisse méditer sur la situation géopolitique actuelle (crise du proche orient enflammé récemment par Israël - la Turquie est officiellement en droit de déclarer la guerre a Israël et demander le soutien de l'OTAN, ambiance plus que tendue entre les deux Corée ...). Le risque d'escalade est plus que probable et serait économiquement viable.
Je te rejoins sur la précarité des emplois en France, et le fait que le taux de chômage au sens INSEE (c'est à dire celui qu'on nous annonce) est complètement faux. En terme d'emploi fixe, hors contrat précaires (CDD renouvelés, intérim...) on approche plus des 15% de chômage, voire plus.
Le seul levier d'investissement pour l'emploi serait de faciliter les embauches à travers une baisse significative des charges sociales aux entreprises. Mais la France a toujours été le pays le plus imposé du monde, et ce fonctionnement date du moyen-age, ce changement d'état d'esprit est difficile.
Car l'impôt permet aussi de couvrir des couts de fonctionnement des services publics à court-terme et cette vision long-terme pour l'emploi n'est donc pas réalisable. Cela sous-entend donc aussi une réduction drastique des budgets de l'état et pas au niveau des emplois des fonctionnaires mais plutôt sur le rythme de vie des fonctionnaires ou de la gestion des budget (salaires des hauts fonctionnaires, cumul des mandats, gestion des ministères etc etc...)
Donc le plein emploi se fera soit par une réduction des charges, une revue des contrats de travail, comme tu le mentionnes avec les aspects flexibilité, mais aussi mobilité , voire télétravail mais au détriment du salaire. Une baisse du salaire globale aussi serait une solution (modèle chinois) mais impossible tant notre niveau de vie en France est élevé sans parler de l'inflation (vive l'euro^^).
Dans tous les cas lors d'une crise mondiale toutes les décisions doivent être prise à un niveau international... Mais comment lutter économiquement entre différents pays, quand l'Europe est plus consommateur que producteur? Comment les vieux continents peuvent-il être rentable face aux pays émergents ?
La prise de position des états dans l'économie internationale montre bien les limites de l'ultra libéralisme lorsqu'on se rend compte que tous ne jouent pas le jeu (les investisseurs en premier). C'est le coté positif de cette crise même si selon moi le mal est déjà fait.